Dans une ambiance épurée et intimiste, Enzo Enzo nous fait entrer à pas feutrés dans le temple des poètes qu'elle admire.

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Quand les lumières s'éteignent dans la salle, il n'y a qu'une certitude pour le public : retrouver cette voix douce et familière, réconfortante et pourtant mystérieuse.

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Si les plus sceptiques se demandaient à quoi bon proposer un récital de poésie en cette décennie, la réponse ne tarde pas à arriver tant l'écrin proposé met en valeur la modernité et l'universalité des propos.

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ENZO ENZO, entourée de Hélène Weissenbacher au piano et de Delphine Gosseries au violoncelle, se promène et nous promène de texte en texte, reléguant nos interrogations à plus tard.